La majorité à 21 ans : une réalité sociologique

Petit supplément de l'article Majorité à 21 ans : une réalité neurologique, le site Malka.fr apporte un éclairage nouveau dans mes connaissance sur les comportements adolescents, et dans un soucis d'honnêteté, je me devais de le mentionner.

D'après d'autres études que celles présentées dans l'article précédent, le cerveau ne serait pas seul responsable des dérives adolescentes. Les problèmes viendraient du fait que contrairement à "avant" (une 100aine d'années ?), le jeune vit avec d'autres jeunes. Il apprend donc à devenir adulte grâce à l'expérience d'autres jeunes (aïe aïe aïe, ça devient plus clair d'un coup) au lieu de l'apprendre avec d'autres adultes (une question demeure : lesquels ?).

Il en découle une infantilisation des jeunes qui, au lieu d'avancer dans leur propre construction, stagnent à l'état d'enfant, tout en souhaitant faire comme les adultes.

D'après cette même étude, un "ado" (sachez que le terme d'ados n'existe pas dans toutes les langues, on est enfant, puis adulte) modifie son comportement très rapidement s'il est considéré comme un adulte. Notre avenir ne serait donc pas aussi noir que je le pensais. L'espoir vient de vous, parents... Cessez de parler à vos enfants comme à des débiles profonds et apprenez leur à devenir adultes, apprenez leur l'autonomie et la réflexion... entre autres.

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